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Tarte Sablée Framboises Mascarpone
Bonjour à toutes et à tous,
Aujourd’hui, je vous présente (encore) une recette qui n’est pas de moi. J’adore fouiner sur la blogosphère pour trouver, non pas la perle rare, mais des recettes qui me font baver, des photos qui vont me donner faim, des textes pleins d’humours…
Puis un jour, en voletant de ci, de là, de blogs en blogs sur le net, j’ai atterri sur le Blog d’Eryn. Un site superbe, avec des photos hyper appétissantes, des recettes simples mais toujours gourmandes. Et je l’ai trouvé tellement chouette que j’ai passé des heures dessus, à mettre en favoris des tonnes de recettes (oui, parce que franchement, il y en a pleins que j’ai envie de tester). Malheureusement, ça fait longtemps qu’Eryn ne publie plus, au grand désarroi de beaucoup d’entre nous, j’en suis sure. Mais ça n’empêche pas de partager son imagination culinaire débordante.
Donc, voici ma version quasi pas modifiée de sa Tarte Sablée pur Beurre Framboises Mascarpone. Je suis pas spécialement tartes (pas de mauvais jeux de mots s’il vous plait, elle est trop facile celle-là hùhù), ni spécialement fruits. Mais l’ajout du mascarpone dans l’appareil et la pâte sablée généreuse en beurre… c’est tellement bon que ça fout les jetons (jolie rime n’est ce pas). Ça rendrait boulimique, je vous assure. Même le Poilu a adoré alors qu’il ne jure que par le chocolat et le cheesecake.
Ingrédients ou compos :
Pour la pâte sablée :
– 150 g de farine
– 70 g de sucre
– 1 sachet de sucre vanillé
– 120 g de beurre (salé pour moi) mou, en dés
– 1 CAC de vanille liquide
Pour la garniture :
– 250 g de mascarpone
– 40 g de sucre
– 1 sachet de sucre vanillé
– 1 CAC de vanille liquide
– 15 g de maïzena
– 1 œuf
– 200 g de framboises
Préparation :
Beurrez ou chemisez de papier cuisson un moule (j’ai utilisé mon super moule à cheesecake démontable).
Mélangez les sucres et avec vos petits doigts, incorporez le beurre mou.
Ajoutez la vanille, puis la farine, et sablez du bout des doigts.
Formez ensuite une boule avec la pâte, que vous envelopperez dans du film étirable et laissez-la poser pendant minimum 30 minutes au frigo.
Au terme de ces 30 minutes, tassez votre pâte dans votre moule. Comme le conseillait Eryn, je me suis servie de la base d’un verre comme le montrent les cercles très artistiques formés dans la pâte.
Préchauffez votre four à 180°C et remettez le plat au frigo pendant ce temps.
Préparons donc la garniture aussi pendant ce temps.
Dans un saladier (pas sur la table en même temps), fouettez (*bruit du fouet*) énergiquement votre mascarpone pour le détendre. Le tablier en cuir est facultatif. Ajoutez les sucres, la vanille liquide. Mélangez, puis ajoutez la maïzena et mélangez encore. Battez votre œuf à part et ajoutez le au reste de la préparation.
Enfournez votre pâte pendant 10 – 12 minutes. Puis sortez-la du four et laissez-la reposer pendant 5 bonnes minutes pour que de molle, elle passe à un peu plus solide.
Regardez comme elle est belle et comment la bordure a l’air croustillante, par contraste avec le moelleux du centre.
Versez la préparation au mascarpone au centre de la pâte et étalez, soit à l’aide d’une spatule, soit en faisant tourner le plat entre vos mains.
La couche de mascarpone est fine, c’est normal. Ça gonflera un peu à la cuisson.
Puis disposez vos framboises dans le mascarpone à intervalle régulier pour un résultat fort agréable à l’œil.
Remettez au four pour 35 à 40 minutes, il faut que le dessus soit bien doré (pas brûlé sinon c’est beaucoup moins bon).
Laissez refroidir, démoulez et saupoudrez de sucre glace pour un effet gourmand et glamour.
Régalez vous !
Bon app’ !
Ayghon
Oeufs au lait
J’ai repris le travail depuis peu. Après plus d’un an d’arrêt, je reprends doucement un rythme, une vie normale et forcément, un peu moins de temps pour cuisiner des bons petits plats à mes poilus mais c’est pas grave, on se rattrape le week-end et je n’ai pas l’intention de vous laisser m’oublier comme ça !
Je suis plutôt un bec salé en général, mais de temps à autre, une furieuse envie de sucré me prend et je me mets à rêver de desserts et autres douceurs gourmandes.
Et en parlant de douceur, en voguant sur mes blogs préférés, sur le blog de notre célèbre Humour, Gloire et Beauté, j’étais tombé par hasard sur son récit tellement émouvant des Oeufs au lait de Tata Maïté et ils étaient tellement beaux et tellement pleins d’émotions que j’ai eu envie de les tester. J’ai d’ailleurs suivi sa recette à la lettre sauf pour le caramel : je n’en ai pas fait parce que, non seulement, je suis nulle en caramel, et en plus, il me restai juste assez de sucre pour la recette.
Peut-être ai-je été émue par ce récit car je garde peu de souvenirs des recettes de famille, celle-ci étant éloignée, on peut pas dire que la transmission des recettes qui resteront dans les traditions se fasse.
J’ai donc décidé d’essayer moi aussi, de retrouver le goût de l’enfance à travers sa recette. Et finalement, ce sont ses souvenirs à elle qui m’ont envahie, tels que je les imagine. Comme elle dit, techniquement, sa recette est parfaite mais ce sont les sentiments qui lui donnent son vrai goût réconfortant et qui transforment les classiques œufs au lait d’un dimanche tristounet en dessert réconfortant et familiale. C’est donc pourquoi, lorsque mon mini-poilu sera en âge, je lui ferai des œufs au lait pleins d’amour pour qu’en grandissant, il se souvienne de ce type de recette que sa maman lui préparait avec beaucoup de tendresse.
Je dis donc un grand merci à notre amie commune pour réussir à faire vivre ses recettes à travers ses récits, jusqu’à nous en mettre les larmes aux yeux.
Ingrédients ou compos :
– 8 oeufs
– 125 g de sucre
– 1 litre de lait entier
– 1 gousse de vanille et demi
Préparation :
Comme je l’ai dit plus haut, j’ai suivi la recette au détail près et je n’ai pas fait préchauffer mon four pour faire une cuisson en démarrage à froid.
Commencer par faire bouillir le lait avec les gousses de vanille fendues et grattées et laisser infuser.
Pour ma part, et comme la plupart d’entre vous, je suppose, j’achète d’habitude du lait demi-écrémé en brique mais pour cette recette qui valait mieux que ça, je suis allée au marché et j’ai acheté du lait de ferme entier et je n’ai pas regretté, ça valait le coup !
Battez les 8 œufs avec le sucre sans faire blanchir et ajoutez le lait, que vous aurez laisser tiédir, en remuant doucement, pour ne pas produire d’écume. S’il y en a, vous pouvez la retirer avec un écumoire ou passer la préparation au chinois.
Versez l’appareil des œufs au lait dans des ramequins.
La cuisson est hyper importante : elle se fait au bain marie. Mettre les ramequins dans un plat à four rempli d’eau aux 3/4.
Démarrer la cuisson à froid, à 120°C pendant 20 minutes, puis 10 minutes à 180°C et enfin, 5 minutes à 220°C. L’eau du bain marie ne doit jamais bouillir.
Une fois que les œufs sont cuits, laissez refroidir avant de les conserver au réfrigérateur. Cependant, ils sont bien meilleurs quand il ne sont pas glacés, ils seront encore plus fondants si vous les sortez du frigo une dizaine de minutes avant de les déguster.
Ils étaient délicieux, la texture fondante et ferme à la fois, et sucrés juste comme il faut, ni trop, ni pas assez. Et ils resteront bien au chaud dans mes souvenirs, jusqu’à la prochaine fois !
Bon app’ !
Ayghon
Crêpes vanillées
Le 2 Février, c’était la Chandeleur. Perso, quand vous me dites Chandeleur, dans ma tête, ça fait « miam slurp croutch MANGER des crèpes ! ». Enfin je résume. Cependant, cette fête a une histoire ! Et oui, ça signifie « Fête des Chandelles », et c’est une fête d’origine païenne et latine dont la tradition était d’allumer des cierges à minuit en symbole de purification. Par la suite, cette fête est également devenue une fête religieuse chrétienne pour rappeler que le Christ est la lumière du monde, toussa toussa (merci Wiki).
Bref, c’est bien sympa toute cette histoire mais bon, pourquoi des crêpes alors ? Parce qu’à cette époque l’électricité n’existait pas et qu’on faisait cuire les crêpes à la bougie ? Et bien non, voyons ! C’est parce que les crêpes, avec leur forme ronde et leur belle couleur dorée, rappelleraient le soleil ! Je vous en bouche un coin, hein ?
Bon, au final, l’histoire religieuse, j’aime bien, mais je préfère manger.
Donc, je vais vous faire découvrir la meilleure recette de crèpes que j’ai jamais mangé. Super parfumée, très vanillée, sans être trop sucrée, c’est un délice ! Je me suis inspirée d’une recette chopée dans le livret de Eat Your Box de Janvier.
Ingrédients ou compos : (pour une vingtaine de crêpes moyennes)
– 1/2 litre de lait
– 250 g de farine
– 4 œufs
– 1 pincée de sel
– 80 g de sucre en poudre
– 1 sachet de sucre vanillé
– 1 sachet de sucre Vanille-Bourbon
– 40 g de beurre
– 3 ou 4 CAS de Grand Marnier
– de l’huile (pour la poêle)
Préparation :
Pour commencer, on va préparer un beurre noisette. Le beurre noisette, c’est un beurre fondu dans une casserole à feu vif jusqu’à ce qu’il commence à cuire et à prendre une belle couleur brun clair. Ça prend environ une ou deux minutes. Ça lui donne une saveur très gourmande, j’adore !
Réservez le temps que ça refroidisse.
Dans une grande jatte, mélangez les ingrédients secs : farine, sel et les 3 sucres.
Faites une fontaine au centre et cassez-y les œufs. Mélangez bien jusqu’à ce que vous obteniez une boule de pâte très compacte et collante et quasi pas mélangeable.
Ajoutez enfin le lait petit à petit pour la détendre et obtenir une pâte liquide sans grumeaux.
Ajoutez le beurre noisette refroidi et mélangez.
Et enfin, le Grand Marnier. J’adore cet alcool hyper parfumé ! Dans cette recette de crêpes, pour moi, c’est sans modération. Et on remue encore !
Et enfin, l’étape à laquelle il est difficile de se soumettre : laissez poser la pâte pendant 2 h à température ambiante. Ça évite qu’elle soit trop élastique.
TIC TAC… TIC TAC… TIC TAC… TIC TAC … 2 h plus tard…
Ça fait maintenant 2 heures que l’on poirote en louchant désespérément sur notre pâte qui sent bon la vanille et le Grand Marnier. On va pouvoir passer à l’attaque !
Dans une petite tasse, mettez un peu d’huile. Trempez-y un morceau de sopalin et badigeonnez votre poêle. Et faites la chauffer sur feu vif.
Lorsque la poêle est chaude, versez-y une louche de pâte et laissez cuire une minute. Enfin, le temps de
cuisson dépend de vous ; perso j’aime les crêpes pas trop cuites.
Regardez comment on voit bien les grains de vanille dans la pâte qui cuit, mmmmh !
Lorsque la première face de la crêpe vous semble assez cuite, retournez-la.
Pour le retournage (oui, j’aime inventer des mots en -age), aidez-vous d’une spatule, ou si vous êtes doté d’une dextérité à toute épreuve, ou que vous avez le goût du risque, vous pouvez les faire sauter, au risque de les coller au plafond ou de vous ébouillanter la face. Il paraît que tout est dans le mouvement du poignet. Perso, je ne m’y risque pas.
Répétez l’opération jusqu’à épuisement de la pâte, mais vous pouvez aussi la conserver une journée au frais si vous avez pas le temps de tout cuire.
Ensuite dégustez-les avec la garniture de votre choix : sucre, sirop d’érable, confiture, pâte à tartiner… Les possibilités sont infinies et tellement gourmandes !
Bon app’ !
Ayghon
Marrons glacés et Meilleurs Vœux !
Aujourd’hui, nous sommes le 24 Décembre et dans la plupart des foyers, on s’active déjà, ou ça ne va pas tarder, pour que tout soit prêt et parfait pour le réveillon ce soir.
Je profite du calme de ce petit matin tout gris mais serein pour vous faire part de mes vœux les plus sincères : je vous souhaite de passer un très beau réveillon, entourés de vos proches, des gens que vous aimez et qui vous aiment, de bien manger, parce que c’est quand même super chouette le repas de Noël ! Egalement, d’être bien gâtés par le père Noël.
Je vous embrasse tous, j’en profite pour vous remercier de votre fidélité et et votre intérêt pour mes petites recettes sans prétentions, car vos commentaires et votre plaisir à me lire est à mes yeux le plus beau des cadeaux.
Sur ce, je vous laisse avec une recette des Marrons glacés, idéale pour les fêtes, à offrir ou à garder jalousement pour soi-même, que j’ai piochée, je l’avoue, sur l’excellent blog Culinaire Amoula.
C’est « long » à faire mais si vous avez de la patience, ça vaut le coup. A la base, j’ai voulu tester car mon Papa adore ça, alors je suis désolée Papounet, mais je n’ai pas pu t’en apporter : il n’y en avais pas assez : mes marrons étaient pas tops après épluchage donc j’ai dû en jeter, et le Poilu a tout mangé, tu t’arrangeras avec lui, hùhù.
Ingrédients :
– 500 g de marrons frais
– 600 g de sucre
– 1/2 litre d’eau
– 1 gousse de vanille
Préparation :
Première étape, et pas la moindre : l’épluchage des marrons. Je vous conseille d’acheter des marrons frais de (très) bonne qualité, sinon à la fin, vous risquez d’avoir des marrons glacés avec des textures et des goûts bizarres. Vous les incisez au niveau des fesses, là ou vous avez le rond en dessous, sur toute la largeur, et vous les jetez dans de l’eau bouillante pendant une vingtaine de minutes.
Petit conseil d’épluchage : ne mettez pas tous vos marrons à bouillir en même temps. Ils s’épluchent beaucoup mieux chaud, donc faites le en 3 ou 4 fois selon votre vitesse de croisière. Pour ma part, c’était plutôt en 6 ou 7 fois vu ma lenteur.
Une fois épluchés, dans une grande casserole, faites fondre le sucre dans l’eau et laissez bouillir 3 minutes avec la gousse de vanille fendue, pour obtenir un sirop de sucre.
Plongez les marrons dans le sirop de sucre et laissez bouillir 3 minutes. Coupez le feu et laissez les refroidir dans le sirop pendant 24 heures.
Le lendemain, retirer vos marrons du sirop avec un écumoir, remettez le sirop à bouillir, plongez les marrons 3 minutes, et re-laissez refroidir dans le sirop pendant 24 heures. Il faut réitérer l’opération pendant 5 jours.
Le 6ème jour, retirez vos marrons du sirop et déposez les sur une grille : j’avais rien d’autre donc je les aient mis sur une grille à gâteaux. Avec un pinceau, nappez les du sirop et laissez les sécher à l’air libre pendant 24 heures.
Libre à vous ensuite de les empaqueter joliment pour offrir ou de les engloutir de manière totalement égoïste mais jouissive.
Ah oui, je vous conseille de conserver le sirop de cuisson restant : super parfumé, il pourra vous servir dans d’autres recettes et se conservera très bien dans un bocal bien fermé.
Sur ce, je vous souhaite encore une fois de merveilleuses fêtes pleines de joies, d’amour et de gourmandises, et je vous dis à très bientôt pour de nouvelles aventures et de nouvelles recettes !
Bisous !!!
Ayghon
Yaourt Glacé au gingembre et coulis de caramel / Noël pour pas un rond : Dessert
Aujourd’hui, j’espère que ce dessert va réellement vous plaire parce que j’en suis très fière. En matière de cuisine, ce qui me fait le plus défaut, c’est l’imagination, enfin je trouve. J’ai du mal à avoir l’éclair de génie qui va transformer le saucisse-purée en plat hyper hype et original. J’ai tendance à rester dans les sentiers battus, et à retravailler, sans prendre trop de risques, les classiques. Alors que bizarrement, au quotidien, quand il s’agit de raconter des âneries grosses comme une dinde de Noël, là par contre, j’en manque pas d’imagination.
Mais aujourd’hui, pour ce dessert inventé à l’occasion du Défi de Noël pour pas un rond, je l’ai eu le fameux éclair de génie, cette lueur d’intelligence.
Je le rappelle, pour le dessert, le budget était de 1.25€ par personnes. Et rholala, je vous ai mitonné un dessert aux petits oignons… J’ai réussi à vous pondre une recette de fou, j’ai réussi à rendre rafiné le petit suisse, si c’était pas du challenge ça ?
Bon, j’arrête de me lancer des fleurs (voir des jardins, des champs entiers), et je vous montre la bête, qui j’espère, vous plaira autant qu’à moi, parce que quand même, en plus d’être original et festif, c’était vachement bon !
Ingrédients ou compos : (pour 2 personnes)
– 6 petits suisses : 1.04€, j’en ai utilisé 2, soit 0.17€ par personne
– 2 CAC de sucre roux au gingembre
– 1 CAC de cassonade
– 1 CAC de vanille liquide
(Je ne vous mets pas les sommes car je pense que tout le monde a du sucre en poudre dans ses placards, ou autre sucre et arômes d’ailleurs).
– 1 briquette de crème fraîche entière : 0.56€, soit 0.28€ par personne.
– un paquet de caramels durs : 1.58€, j’en ai utilisé une petite quinzaine ; dans le doute, je considère avoir mis la moitié vu que je n’ai pas compté, soit 0.40€ par personne.
Nous arrivons donc à un total d’environ 0.85€ par personne, on est larges et dans les clous, donc le restant peut compter pour un surplus d’arôme si vous en avez pas et que vous avez le courage de calculer le montant d’une cuillère à café.
Préparation :
Rien de plus simple que ce dessert bien parfumé. Dans un bol, mélangez les petits suisses, les sucres, la vanille liquide. Si vous n’avez pas de sucre parfumé (j’ai eu la chance de recevoir du sucre roux au gingembre dans l’une de mes Gastronomiz Box), vous pouvez ajoutez les épices directement dans les petits suisses : gingembre en poudre, 4 épices, muscade, etc. Je déconseille les épices à barbecue, ça ne risquerait de faire tâche.
Remettez ensuite les petits suisses améliorés dans leurs pots et plantez-y ce que vous voulez pour avoir un effet esquimau. J’avais des grandes piques en bois (pour faire des brochettes), je les aient cassées en 3. Mettez les pots au congélateur.
Pendant que ça durci au congélateur, dans une casserole, versez la crème fraîche liquide et jetez-y les caramels durs : faites-les fondre dans la crème à feu doux en remuant très souvent au début, et constamment à la fin, pour que ça n’attaque pas et que ça se dilue bien. Si vous préférez un arôme caramel plus léger, ne mettez qu-une dizaine de bonbons.
Une fois que les bonbons ont bien fondu, laissez refroidir et réservez au frigo.
Au moment de servir, passez le plastique des petits suisses sous un filet d’eau chaude pour les démouler plus facilement. Versez une belle CAS de coulis de caramel et posez l’esquimau de petit suisse dans le coulis. Servez immédiatement avant que ça fonde !
Bon app’ et de bonnes fêtes de fin d’année !
Ayghon