Articles avec le tag ‘sauce soja’
Nouilles sautées au poulet
Pour notre plus grand bonheur à tous, notre copinaute Graziella, qui tient le blog MadeinCooking, a décidé de nous organiser un concours aux petits oignons pour fêter les 1500 like amplement mérités de sa page facebook.
Le principe est simple comme tout : on voyage allègrement sur son blog, on déniche la recette qu’on rêve de dévorer et on la reproduit avec notre petite touche personnelle. Ensuite, on like sa page si ce n’est pas déjà fait et celle de Stilic Force, son partenaire pour nous gâter !
Alors après avoir bavé pendant des heures sur toutes ses recettes, j’ai du en choisir une quand même, même si elles m’ont toutes donné très faim. J’ai jeté mon dévolu sur sa recette de Nouilles sautées au poulet, un plat complet délicieux et hyper parfumé, à laquelle j’ai ajouté mon grain de sel pour y apporté ma touche perso en modifiant un petit peu l’assaisonnement.
Encore merci à toi Grazie pour ce petit challenge plein de gourmandise !
Ingrédients ou compos : (pour 3 gourmands)
– 300 g de blancs de poulet
– 2 carottes
– 1 poivron jaune
– 2 oignons
– 1 CAC d’ail en poudre
– 100 g de germes de soja
– 250 g de nouilles chinoises aux œufs
– 2 CAS de sauce soja
– 2 CAS de nuoc mam
– 1 CAS de sauce soja sucrée
– 1 CAS de vinaigre balsamique
– 1 kubor
– 1 poignée de champignons noirs
– poivre
Préparation :
Pour commencer, occupons-nous des légumes, enfin vous plutôt, moi c’est déjà fait : émincez les deux oignons, coupez en lamelles les carottes et les poivrons. Puis jetez-le dans une poêle avec un fond d’eau chaude et un kubor. Laissez cuire jusqu’à ce que les légumes soient à peine croquants et qu’ils aient absorbés toute l’eau.
Ajoutez ensuite les blancs de poulet détaillés en cubes et laissez cuire avec les légumes jusqu’à ce qu’ils soient cuits à cœur.
Quand le poulet est cuit, ajoutez les deux CAS de sauce soja et de nuoc mam, la CAS de sauce soja sucrée, l’ail en poudre, le vinaigre balsamique et le poivre. Mélangez bien et ajoutez ensuite les germes de soja. La sauce soja et le nuoc mam étant très salés, normalement il n’y a pas besoin de rajouter de sel.
Pendant que le tout mijote joyeusement dans la poêle, faites cuire les nouilles chinoises comme indiqué sur le paquet, soit 2 minutes dans l’eau bouillante pour les miennes. Puis égouttez-les bien.
Enfin, pour le service, dans une assiette creuse ou un grand bol, servez les pâtes et versez par dessus le mélange poulet-légumes-sauce. Et saupoudrez de quelques champignons noirs que vous aurez coupés en lamelles.
Régalez-vous, avec ou sans baguettes !
Je ne regrette pas d’avoir piqué cette recette à notre MadeinCooking nationale parce qu’on a tous adoré !
Bon app’ !
Ayghon
Ribs de porc marinés
Moi, j’aime la viande ! Toutes sortes de viande, le boeuf, le porc, le mouton, le veau, le poulet, etc etc. En tout cas, je suis une carnivore irrécupérable. Et depuis quelques jour, je n’avais qu’une envie : aller au Buffalo Grill pour engouffrer leurs merveilleux travers de porc caramélisés. Sauf qu’avec un bébé d’à peine 3 semaines, un restaurant était à exclure.
Qu’à cela ne tienne : puisque c’est comme ça, je vais les faire moi-même mes Ribs !
(Et ils étaient vachement goûteux, na !)
Ingrédients ou compos :
– 1.2 kg de travers de porc
– 2 CAS de miel
– 4 CAS de sauce Hoisin (ou de sauce barbecue si vous n’en avez pas)
– 2 CAS de sauce Soja
– 1 CAC d’aïl en poudre
– 2 CAS d’huile d’olive
– 1 oignon
– 1 CAC de vinaigre balsamique
Préparation :
Pour commencer, à l’aide d’un coutal (le singulier de couteau) bien aiguisé, retirez les couches de gras qui ont tendance à envelopper les Ribs. Sinon, le gras empêchera la marinade de bien pénétrer la viande. Et puis de toute façon, les Ribs trop gras, c’est pas top moumoute non plus.
Émincez ensuite finement un oignon, que vous mettrez dans un bol. Ajoutez 2 CAS de miel. J’ai utilisé le Miel des Chefs, un miel spécial cuisine idéal pour la cuisson des viandes rouges et des grillades, que j’avais reçu dans la Gastronomiz Box du mois de décembre. Mais n’importe quel miel fera l’affaire, ou même du sirop d’érable ou ce genre de choses.
Ajoutez ensuite les 4 CAS de sauce Hoisin (qui est un genre de sauce barbecue asiatique), les 2 CAS de sauce soja, l’aïl en poudre, l’huile d’olive et le vinaigre balsamique.
On touille bien le mélange, et ça va nous donner une sauce assez crémeuse, très parfumée et bonne même comme ça (j’avoue tout ! J’ai trempé les doigts pour être sure d’empoisonner personne bien sur).
On badigeonne ensuite amoureusement et très généreusement nos morceaux de barbaque avec environ la moitié du mélange : il faut que ça marine ! Et on laisse la marinade faire son office au frigal (singulier de frigo) pendant une heure minimum si vous êtes pressés, mais je préconise 2 ou 3 heures quand même.
Au bout de ces quelques heures de marinage, on met la viande dans un plat à four et on verse le reste de marinade par dessus.
Hop, le four sur 200°C et on laisse cuire comme ça jusqu’à ce que ça soit bien doré, voire même caramélisé, ce qui doit à peu près faire 40 minutes de cuisson. Si à mi-parcours, ça vous semble pas assez violent, vous pouvez mettre le four à 250°C mais surveillez-bien car avec les Ribs, à chaque fois je le vois pas venir, et j’ai tendance à les faire trop cuire. D’ailleurs, pour une fois, je suis fière de moi : ceux-ci étaient parfaits ! (même si pour cela, j’ai presque fait le pied de grue pendant 40 minutes devant la porte du four).
Bon app’ !
Ayghon
Riz Cantonnais simplissime
Je suis une grande fan de cuisine asiatique : que ce soit leurs fritures comme les nems et autres beignets, leurs viandes en sauces telles que le bœuf aux oignons ou encore leurs nouilles aux légumes, j’adore une grande majorité de leurs spécialités culinaires.
J’aime également cuisiner exotique mais sans devoir acheter des tonnes d’épices qui ne me serviront qu’une fois par an ou que je vais galérer à trouver. Donc, j’ai tendance à opter pour des versions simplifiées. Elles sont pas forcément identique en goût aux spécialités originales mais s’en rapprochent plutôt bien et sont bien plus rapides à faire.
C’est le cas pour le riz cantonnais. Il en existe un nombre incalculable de versions, donc finalement peu importe la recette, l’essentiel est que ça plaise. Et ça fait partie des choses que je n’achète quasiment jamais en grandes surfaces car il n’a aucun goût. C’est pourquoi je vous ponds cette petite recette toute simple. Les puristes me diront qu’elle est beaucoup trop sobre comparé à ce que nous mijotent nos amis chinois. Certes, mais elle est quand même vachement bonne !
Ingrédients ou Compos : (pour 3 mangeurs)
– 100g de riz
– 100g de dès de jambon
– 1 oignon
– 1 petite boite de petits pois
– 3 CAS de sauce soja
– 2 oeufs
– poivre
– du beurre
Préparation :
Faites cuire votre riz dans de l’eau légèrement salée. Le temps de cuisson dépend du type de riz que vous avez choisi mais il vaut mieux qu’il soit légèrement ferme plutôt que trop cuit et collant. Une fois cuit, passez le sous un peu d’eau froide pour le rincer et stopper la cuisson et laissez-le de côté.
Émincez pas trop finement votre oignon et égouttez vos petits pois. Battez vos oeufs dans un bol, salez et poivrez.
Dans une poêle sans matière grasse, faites cuire vos oeufs battus en omelette en les brouillant du début à la fin, pour que ça donne des petits morceaux d’omelette qui ne bavent pas (mais que ça ne soit pas du carton non plus, hein !).
A la base, le riz cantonnais est du riz frit. Donc l’instrument idéal pour cuire cette recette est le wok. Si vous n’en avez pas, pas de panique : une poêle qui n’attache pas fera l’affaire. Donc, dans le wok en question, mettez à cuire à feu vif vos oignons et vos dès de jambon avec un petit peu de beurre. Quand les oignons deviennent translucide et fondants, et que les dès commencent à bien se colorer, déglacez avec la sauce soja et poivrez. Si ça vous semble un peu face, ajoutez de la sauce soja plutôt que d’ajouter du sel. Mettez de côté.
Ensuite, refaites fondre du beurre dans le wok et mettez-y le riz. Faites-le frire sur feu maximum pendant quelques minutes en mélangeant bien pour que ça ne brûle pas, et versez-y les oeufs, les petits pois et le mélange jambon-oignons. Et laissez le tout frire pendant 5 minutes sans cesser de remuer.
Servir de suite (c’est meilleur très chaud) comme accompagnement de ce que vous voulez.
(PS : Le riz, c’est super dur à manger avec des baguettes).
Bon app’ !
Ayghon
Ramens au poulet
Mon poilu m’a fait découvrir l’année dernière un manga. Un manga génialissime. Un manga qui me fait pleurer un épisode sur trois (environ) et qui s’appelle Mai Hime. Des super héroïnes qui ont des pouvoirs magiques etc etc. En tout cas, je vous les conseille vivement. Mais le plus important, c’est que ce manga m’a fait découvrir les Ramens : un plat typiquement japonais qui mélange pâtes et soupe, et des tas d’autres choses dedans : viandes, légumes, oeufs etc.
Du coup, après s’être enfilés la totalité des épisodes deux fois en l’espace de moins d’un an, le poilu m’a dit « je veux manger des ramens ». Et là j’ai dit « miam ».
J’ai donc cherché une recette facile de ce plat complet sans avoir à courir partout pour trouver des épices japonaises spécifiques. J’ai trouvé ça super bon, et je suis pas là seule.
Ingrédients ou Compos : (pour 2 gros bols)
– 1 paquet de ramens pour 2 personnes
– 2 cuisses de poulet
– sauce soja
– 1 échalotte et 1 oignon
– 1 CAS d’aïl en poudre
– 1/4 de chou chinois
– 1 carotte
-1 kubor
– 1 oeuf molet
– sel et poivre
Préparation :
Faites dorer vos deux cuisses de poulet salées/poivrées, à la poêle, pendant une dizaine de minutes
Faites chauffer environ 75 cl d’eau dans laquelle vous allez jeter tout de suite le kubor que vous allez laisser fondre.
Pendant ce temps, coupez en rondelles vos carottes et en lamelles assez fines votre quart de choux, et émincez l’oignon et l’échalotte.
Jetez dans l’eau l’aïl, l’oignon, l’échalotte et 1 cuillère à soupe de sauce soja.
Quand les cuisses de poulet sont à peu près cuites, c’est à dire que l’intérieur est juste rosé, prenez votre air le plus sadique et hop, plongez-les dans le bain d’oignons pendant 5 bonnes minutes et sortez-le.
A la place du poulet, vous pouvez à présent mettre le chou et la carotte dans l’eau qui est toujours en train de bouillir.
A quoi ça sert de faire bouillir le poulet me direz-vous, puisqu’on le fait d’abord cuire à la poêle ? Excellente question mon cher Watson. En le faisant bouillir un petit peu, vous finalisez la cuisson en donnant un léger goût de volaille grillée à votre bouillon. Mais pas trop longtemps pour que le bestiau ne devienne pas caoutchouteux.
Passons à présent aux ramens. Vous les trouverez au rayon exotique de votre magasin et ça ressemble à des pâtes fraîches mais version asiatique. Je les ai choisies aromatisées soja-caramel. Sur le paquet, ils proposent 2 modes de préparation : en bouillon ou sautées.
Moi je les balance dans une poêle avec un tout petit peu d’huile dans le fond, avec le feu au maximum et quand elles commencent à griller, j’ajouter le sachet d’épices et 2 CAS d’eau. Une fois que l’eau est bien absorbée et que les pâtes sont toutes enrobées, on éteint le feu.
Pendant ce temps, nos cuisses de poulet ont eu le temps de refroidir un peu. On va donc les détailler en filaments et remettre les os de poulet dans le bouillon pendant 5 minutes pour accentuer encore un peu le goût du poulet dans la soupe.
Le montage des bols :
On sort 2 bols assez gros, sinon c’est galère pour tout tasser. Ceci dit, des assiettes à soupe conviennent parfaitement aussi, ou un saladier de 5 litres si vous avez très faim.
On réparti au fond nos ramens (qui ont pris la couleurs des épices soja-caramel ici).
Disposez par dessus les morceaux de poulet.
Puis le bouillon avec les légumes.
Et enfin, on décore avec les oeufs molets coupés en quarts avant de servir bien chaud (les miens manquaient légèrement de cuisson).
Bon app’ !
Ayghon