Archive pour la catégorie ‘Plats Chauds’
Pulled Pork
Cela faisait bien longtemps que j’avais vu passer cette recette, Je l’avais mise de côté car dès qu’il s’agit de faire des sandwich à la viande, je suis partante. Et puis le temps passant, je l’avais complètement oubliée. Et en fouillant dans mon bazar, je suis retombée dessus et je me suis dit qu’il fallait pas que je la laisse passer ce coup-ci.
La première grande question, c’est ? Mais qu’est ce que le Pulled Pork. Comme le dit son nom déjà, c’est du porc. En fait, c’est une recette américain à la base et j’adore leur « food ». Traditionnellement, on prend un morceau d’épaule. Pour le coup j’ai pris un rôti. Dans ce cas, il vaut mieux prendre un rôti dans l’échine. Il faut que la viande soit un peu grasse. Pulled Pork, ou littérallement « Porc Tiré » est en fait une pièce de viande mijotée pendant de longues heures à basse température dans une marinade sucrée-salée. Au bout de cuisson, la viande est tellement bien cuite qu’elle s’effiloche toute seule à la fourchette.
Fondante et parfumée, vous pouvez en faire ce que vous voulez : la manger telle qu’elle, en burgers, pitas, dans un hachis parmentier revisité… Il existe à peu près autant de recettes que de gens qui la cuisinent, chacun fait à se sauce selon ses goûts, préférences etc. Je vous donne donc ma version, mais elle n’est pas parole d’évangile ^^.
Ingrédients ou compos :
– Huile d’olive
– 1 beau rôti de porc
– 3 oignons coupés grossièrement
– sel et poivre
– 4 CAC d’épices cajun
– 1 petite boite de concentré de tomates
– 200 g de sauce tomates en briquette
– 200 ml de bouillon (genre Kubor)
– 1 CAC d’herbes de Provence
– 2 CAS de cassonade
– 2 CAS de sauce Worcestershire
– 2 CAS de vinaigre de cidre
– 1 CAS de sirop d’érable
– 1 CAC d’ail
– 1 belle poignée de céleri.
Préparation :
Prendre un grand faitout allant au four. Personnellement, j’ai pris ma marmite en fonte qui est encore mieux que géniale. Mettre à chauffer de l’huile d’olive et faire dorer le rôti sur toutes ses faces. Saler et Poivrer et ajouter l’oignon, l’ail et le céleri. Faire cuire 5 bonnes minutes en remuant.
Dans un récipient, mélangez tous les autres ingrédients : les épices, le concentré de tomates + la sauce tomate, la sauce Worcestershire, le vinaigre de cidre, le sucre, le bouillon, les herbes, le sirop d’érable et le laurier.
Versez cette préparation dans la marmite avec le porc, couvrez, et laissez cuire dans un four à 150°C pendant minimum 3h, l’idéal étant quand même 4 ou 5h. Si vous voyez que la viande absorbe trop la sauce, vous pouvez ajouter un petit peu d’eau ou de bouillon supplémentaire en cours de cuisson.
Lorsque la viande est cuite, vous pourrez l’effilocher à l’aide de 2 fourchettes et bien la mélanger au restant de sauce pour qu’elle en soit bien imprégnée.
Dégustez ensuite comme vous le souhaitez et régalez vous ! Pour nous, ça a été un burger personnalisé : un muffin anglais à la place du pain, sauce samourai pour moi, ketchup pour lui, salade, fromage, carottes râpées et c’était une vraie tuerie !
Bon app’ !!!
Ayghon
Sauce tomate maison, avec ses gnocchis, avec Prince de Bretagne
Fin Avril, j’ai été contactée par Prince de Bretagne, Leader en Europe sur la production de légumes frais bretons. Bretonne pure beurre, je me sens forcément proche de cette marque qui propose un vaste choix de légumes de qualité. Vous pourrez même trouver des tonnes d’idées pour les cuisiner sur leur blog Cuisinons les légumes.
A l’occasion de leur 40 ans, ils ont organisé un événement qui consistait à faire parvenir à un certain nombre de journalistes et blogueuses bretonnes (dont j’ai fait partie) un colis spécial contenant 40 variétés différentes de tomates pour nous les faire découvrir.
Evidemment, j’ai accepté ! D’abord parce que je suis toujours honorée qu’une marque de confiance me contacte pour faire part de mon avis sur leurs produits. En effet, même si mon blog est un loisir, ça me fait plaisir qu’on considère qu’il plaise suffisamment, pour qu’on me fasse confiance aussi. Et puis en plus, j’adoooore les tomates.
Donc, environ une semaine plus tard, on sonne à ma porte. C’était eux ! On me déposait une énorme cagette remplie de tomates de toutes les couleurs, mures à point et malgré le temps pas terrible, j’ai été transportée au soleil. C’était joliment emballé, avec un petit mot gentil comme tout, un guide expliquant les variétés et une grande affiche de la marque. Il y avait même une clé usb en forme de tomate. Ça dégageait une odeur de jardin. Ça sentait comme le potager de mon papa. C’est déjà forcément un gage de qualité. Et au goût, elles sont délicieuses. Parfumées, avec des saveurs différentes, elles sont également bien charnues et pas remplies d’eau et insipides comme celles du supermarché.
J’ai commencé à me creuser les méninges : il fallait que je trouve une recette sympa pour leur faire honneur et finalement, je suis allée au plus simple. J’aime beaucoup faire mes sauces tomates moi-même, mais d’habitude, j’utilise des boites de tomates pelées.
Du coup, j’ai décidé de préparer une sauce tomate faite mains de A à Z, pour accompagner des super Gnocchis maison, dont j’ai allègrement pompé la recette chez notre très célèbre 120 Street Cook, dont j’adore le blog. Ça faisait tellement longtemps que je bavais dessus que je me suis dit que c’était l’occasion idéale. Donc je ne vous mettrai pas la recette puisque je n’ai rien changé (à part un petit peu plus de farine), je vous invite à aller directement chez lui 😉
Verdict : Gnocchis excellents, rien à voir avec les industriels bien sur.
Quant à la sauce tomate, une pure merveille. Je crois que c’est la meilleure que j’ai jamais mangé. J’ai mélangé différentes variétés : des cerises jaunes sucrées, des cocktails, des cerises oranges… Et le tout donne une saveur incomparable, un voyage au soleil, subtil et délicat, relevé par quelques épices…
A vos casseroles !
Ingrédients ou compos :
– Environ 700 g de tomates : une grappe de cœurs de pigeon, une demi grappe de cerises jaunes et une demi grappe de cerises oranges, une grappe d’Égérie et une cœur d’Antan noire.
– 3 gousses d’ail
– 2 oignons émincés
– 1 kubor
– 1 poignée de céleri branche en tronçons
– 1 CAS de basilic
– 1 grosse poignée de champignons frais
– sel, poivre
– huile d’olive
– 1 CAC de sucre blond
Préparation :
Faire bouillir une casserole d’eau. Incisez toutes les tomates en croix puis les plongez quelques secondes lorsque l’eau est à ébullition pour pouvoir les peler facilement. Personnellement, je ne les épépine pas parce que les pépins ne me dérangent pas. Retirez donc la peau puis concassez-les grossièrement.
Dans une autre casserole, faites chauffer 2 CAS d’huile d’olive, puis faites-y revenir les 2 oignons émincés. Ajoutez les tomates concassées, le céleri, les champignons, l’ail et le kubor. Mélangez bien puis ajoutez la CAC de sucre.
Laissez mijoter à feu doux pendant environ 1 heure. Puis salez et poivrez à votre convenance.
Pendant ce temps préparez les gnocchis. C’est juste un mélange de pommes de terre, d’oeufs et de farine, roulés en boudins et coupés en petits morceaux cuits à l’eau. C’est simple à faire mais ça demande un peu de temps, surtout si comme moi, on débute et qu’on manque singulièrement de dextérité.
Servez bien chaud en accompagnement des gnocchis comme pour nous, où de pâtes ou sur un gratin de légumes par exemple.
Régalez-vous et merci encore à Prince de Bretagne pour ces superbes produits !
Ayghon
Chaussons tomatés à la courgette et au beurre d’arachide
Je le sais, je manque à tous mes devoirs. Je suis très irrégulière dans mes posts, mais je ne vous oublie pas. Je sais que dans mes derniers articles, je vous avais dit que je vous pondrai plus souvent des petites recettes mais le temps me manque. En ce moment, avec mes horaires décalés et mes temps de trajets à rallonge, je n’ai pas le courage de retoucher mes photos etc. Il y a des semaines où je ne vois quasi pas mon Mini-Poilu car quand je pars le matin, il dort encore et quand je rentre le soir, il est déjà couché. Donc je vous avoue que le week-end, je me consacre entièrement à lui.
Du coup, sans vous faire de promesse que je ne pourrai pas tenir, je vais essayer de poster plus souvent, cependant pour cela, il se pourrait que pour certains articles, les recettes ne soient pas détaillées en photo. Juste une jolie photo de présentation. J’espère que vous ne m’en voudrez pas. Mais pour celle-ci, il y aura pleins de photos ^^
J’adore mon blog et bien sûr, je n’ai pas l’intention de le laisser tomber. Donc pour me faire pardonner, aujourd’hui, c’est une recette estivale que je vous fais découvrir. D’habitude, il est vrai que je m’inspire énormément de vos créations, mais aujourd’hui, c’est du 100% moi. Une création inventée de A à Z. J’ai reçu un paquet de farine à la tomate qui m’a donnée envie d’en faire quelque chose d’original.
Je vous laisse découvrir ma recette, en espèrant qu’elle vous plaira et qu’elle vous apportera un peu de chaleur.
Ingrédients ou compos : (pour 4 beaux chaussons)
– 250 g de farine à la tomate
– 1 sachet de levure boulangère
– 15 cl d’eau tiède
– 2 CAS d’huile d’olive
– 2 petites courgettes
– 1 grosse CAS de pâte d’arachide
– 2 CAS de concentré de tomates
– 1 échalotte
– sel et poivre
Préparation :
Dans un saladier, mélangez la farine, la levure, l’eau tiède et l’huile d’olive jusqu’à obtenir une boule de pâte homogène et qui ne colle pas.
Faites revenir les courgettes et les échalotes puis ajoutez le concentré de tomate et la pâte d’arachide. Mélangez bien et laissez mijoter quelques minutes, le temps d’obtenir une sauce bien onctueuse.
Étalez la boule de pâte et divisez la en 4. Fourrez-la avec le mélange et refermez en pinçant le dessus pour obtenir des petits chaussons.
Mettez vos chaussons dans un plat et arrosez-les légèrement d’huile d’olive. Puis faîtes-les cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant 20 minutes. Surveillez la cuisson car ils peuvent devenir trop secs si ils sont trop cuits.
Dégustez-les chauds, accompagnés d’une salade verte.
Ou encore, vous pouvez en faire des minis pour l’apéritif, qui seront tout aussi délicieux à température ambiante.
Bon app’ !
Ayghon
La Poutine
Il y a quelques semaines de ça, j’ai eu une furieuse envie de quelque chose de scandaleusement, monstrueusement, anti-diététique. Un truc dégoulinant, fondant, gras et onctueux. Et puis j’ai repensé à une recette dont on m’avait parlée. La Poutine, un genre de Saint-Graal du cra-cra. M’enfin, si on peut plus se faire plaisir…
Pour la petite histoire, la Poutine, dont il existe un nombre infini de versions, est principalement connue au Quebec. C’est un plat rural et très populaires donc les origines sont plutôt floues. Pour résumer, il s’agit d’un plat de Frites, parsemées généreusement de fromage (qui fait scouic-scouic !) et arrosées d’une sauce brune qui fait penser (un peu) à la sauce Barbecue.
Sauf que ! Evidemment, c’est pas si simple. Le fromage en grain nécessaire à la recette est quasi introuvable en France, c’est du Cheddar frais qui fait Scouic-scouic sous la dent, en grains. Et la recette de la fameuse sauce brune est jalousement gardée par nos amis Québécois (Tabarnak !).
Mais moi j’avais très envie d’une Poutine maison ! Alors j’ai surfé (surfééééééééé, Aline, pour qu’elle revienne… euh… pardon…). Bref, et je suis tombée sur ce site : http://www.viedegeek.fr/article/vie-gourmand-comment-faire-bonne-poutine-en-france/. Vu mon côté geekette, c’était tout à fait roleplay.
Une recette dont le goût se rapprocherai de la vraie, avec des ingrédients faciles à trouver. Je ne l’ai pas suivie à la lettre, j’y ai mis mon petit grain de sel et fait surtout au feeling.
C’était bon, c’était bien lourd, et la prochaine fois, je me souviendrai de ne pas manger pendant 3 jours avant. Mais franchement, ça en valait le coup.
Ingrédients (ou compos) : pour 5 ventres sur pattes
– des frites (beaucoup de frites !) (J’ai pris des frites au four pour la conscience mais ce sont pas les meilleures)
– un gros cubes de mozzarella de 500 g
Pour la sauce :
– 2 échalotes hachées
– 1 CAC d’ail en poudre
– 5 CAS de sucre roux (j’ai pris de la poudre à Maurice, on peut difficilement faire plus roux)
– 5 CAS de vinaigre balsamique
– 1 CAS de beurre (salé pour moi)
– 500 ml de bouillon de volaille
– 3 CAS de concentré de tomates
– 3 CAS de Maïzena
– 100 ml d’eau froide
Préparation :
Mettons les frites à cuire et préparons la sauce pendant ce temps.
Commençez par hacher vos échalotes assez finement, au couteau. Puis mettez les dans une casserole avec le sucre roux et l’ail.
Ne mettez pas le feu trop fort sinon ça va bruler, mais laissez à feu moyen jusqu’à ce que ça caramélise.
Une fois que c’est bien caramélisé, déglacez avec le vinaigre, remuez bien et ajoutez le beurre.
Laissez le fondre et laissez mijoter une dizaine de minutes, le temps que ça réduise.
Ajoutez ensuite le bouillon de volaille et le concentré de tomates. Laissez encore cuire 5 minutes.
Délayez la maïzena dans les 100 ml d’eau froide. Puis rectifiez la texture en ajoutant la préparation à la sauce en remuant toujours sur le feu.
Ensuite, coupez votre mozzarella en tout petits cubes.
Je suggère ce fromage car il a l’avantage de rendre moins d’eau que la mozzarella classique et est relativement élastique. Vous pouvez cependant le remplacer par le fromage de votre choix, l’essentiel étant que ça soit un fromage qui ne se diluera pas dans la sauce en fondant.
Disposez vos frites dans une assiette et parsemez-les généreusement des cubes de fromages.
Versez la sauce par dessus : elle imbibera les frites et fera fondre le fromage.
A déguster chaud et Régalez-vous !
Bon app’ !
Ayghon
Bành Xèo
La cuisine asiatique est une cuisine que j’ai toujours adorée. C’est tellement plein de saveurs, de couleurs, de goûts qui font voyager… Une simple touche de sauce soja dans le plus simple des plats et vous voilà à l’autre bout du monde.
J’avais déjà testé, comme vous avez pu le constater ici, quelques recettes. Me revoilà avec la recette à ma façon du Bành Xèo, qui est un plat vietnamien, souvent servi en entrée. Mais quand on voit la bête, c’est amplement suffisant en plat, accompagné d’une petite salade verte. C’est une crêpe à base de farine de riz, de lait de coco et d’épices, agrémentée, en général, d’une farce à la viande de porc hachée, aux crevettes, et aux germes de soja.
Sauf que comme d’habitude, lorsque j’ai envie de me lancer dans une recette, c’est un coup de tête, une pulsion incontrôlable, qui me tombe sur la tête (par Toutatis !) et forcément, je n’ai pas prévu et il me manque une partie des ingrédients. Qu’à cela ne tienne, je vais le faire à ma façon, et comme je pense, comme la plupart d’entre nous, que la cuisine n’est pas gravée dans le marbre, c’est une version toute personnelle que je vous livre aujourd’hui : le Bành Xèo pour les noobs !
Ingrédients ou compos : (pour 4 Bành Xèo)
* Pour la pâte :
– 100 g de farine
– 100 g de maïzena
– 20 cl de lait de coco
– 20 cl d’eau
– 1 oeuf
– 1 pincée de sel
– 2 pincées de curcuma
– 1 pincée de curry
– 1 pincée de coriandre
– 1 CAS d’huile de sésame + 1 CAS d’huile de tournesol
– ciboulette
* Pour la garniture :
– 250 g de viande de porc hachée
– 2 échalotes
– 1 belle carotte
– 1/2 CAC d’ail en poudre
– une grosse poignée de vermicelles de soja (environ 50 g)
– une poignée de champignons noirs
– sauce soja et sauce huître
– sel/poivre
Préparation :
Commençons par préparer la pâte. Dans une jatte, versez la farine et la maïzena. Puis ajoutez les épices : le curcuma, le curry et la coriandre. Puis une pincée de sel et de poivre.
Mélangez ces éléments.
Ajoutez ensuite les ingrédients liquides : le lait de coco, l’eau, l’œuf, et les huiles. Mélangez bien jusqu’à obtenir une pâte à crêpes d’une belle couleur jaune. Puis ajoutez la ciboulette à votre convenance. J’ai dû en mettre entre 1 et 2 CAC.
Nous allons à présent laisser reposer la pâte pendant une trentaine de minutes. Pendant ce temps, attaquons-nous à la farce. En théorie, elle est censée contenir des germes de soja ou des pousses de bambous, et des crevettes. Je les aient remplacés par une carotte en julienne et des échalotes émincées, et des vermicelles de soja car j’adore leur texture et leur manière d’absorber le goût des jus de cuisson.
Donc coupons finement nos légumes et faisons-les revenir dans une poêle, avec une lichette d’huile d’olive, mais pas trop longtemps pour qu’ils gardent un peu de croquant.
Ajoutez ensuite la viande de porc hachée et laissez mijoter jusqu’à ce qu’elle soit bien cuite.
Pendant ce temps, réhydratez vos champignons noirs dans un bol d’eau bouillante, ainsi que les vermicelles de soja, pendant 5 à 10 minutes.
Coupez vos champignons noirs en lamelles, et coupez également grossièrement les vermicelles. Puis ajoutez le tout à la préparation au porc. Ajoutez 1 CAS d’aïl en poudre, 2 CAS de sauce soja et 1 CAS de sauce huîtres. Salez et poivrez à votre convenance.
Laissez encore mijotez 5 minutes pour que tous les arômes s’entremêlent et s’imprègnent.
Passons à présent à la cuisson de la crêpe : enduisez généreusement d’huile une poêle et faite la bien chauffer. Puis versez une louche de pâte. Même si ça n’est pas diététique, ne soyez pas radins sur l’huile : ça donnera à la pâte une texture croustillante à l’extérieur et moelleuse à l’intérieur. Laissez cuire 2 ou 3 minutes, pas trop longtemps pour que la crêpe ne devienne pas cassante, mais assez pour que l’intérieur ne soit pas cru.
Déposez 2 ou 3 CAS de farce sur la moitié de la crêpe et rabattez.
Laissez chauffer encore quelques minutes, et dégustez bien chaud, accompagné d’une salade
bien fraîche, assaisonnée à l’huile de sésame et sauce soja, c’est un véritable délice !
Bon app’ !
Ayghon